Six photographies de Vénus préhistoriques
SUR LE BAR DU VOX
La femme au renne provenant de l’abri de Laugerie-Basse en Dordogne,
MAISON DUCHÊNE ET MAIRIE
La Polichinelle de la grotte de Grimaldi en Ligurie (Italie),
OFFICE DE TOURISME
La Vénus de Tursac en Dordogne de l’abri du facteur de Tursac,
MAIRIE FACE
La Vénus de Grimaldi de la grotte de Grimaldi
SALLE DES FÊTES
La Torse de la grotte du Pape dans les Landes.
Ces Vénus appartiennent à la collection du musée d’archéologie nationale de St. Germain en Laye.
ANGLE DE LA RUE DE JUILLET
La Vénus impudique de l’abri de Laugerie Basse appartenant à la collection du musée de l’Homme à Paris.
Claire Artemyz, médecin et photographe s’intéresse aux artéfacts de la préhistoire en tant que témoin du cheminement du genre homo, depuis nos plus lointains ancêtres, jusqu’à l’émergence de notre propre espèce, l’Homme moderne.
Sa recherche artistique se développe à partir d’une interrogation sur l’identité humaine, ce qui l’a amenée à explorer l’univers des fossiles et de la Préhistoire.
Utilisant la photographie argentique et grâce à une utilisation de la lumière et de cadrages serrés, ses photographies révèlent des aspects inattendus et intimes de ces vestiges, comme s’il était possible de retrouver ainsi la trace d’une vie dont nous saurons presque rien.
La science est impuissante à nous dire qui était la personne sculptée, comment a-t-elle pensé, qu’a-t-elle ressenti, qu’a-elle aimé ?
L’approche artistique de Claire Artemyz apporte une dimension , une interprétation de l’œuvre originale, celle du sensible, l’objet devient vivant et, de là, peut surgir un dialogue.
Traduire les émotions que suscite la confrontation avec ces sculptures du passé est la recherche de Claire Artemiz.
L’exposition sur les murs de la ville sera prolongée par une exposition dans la galerie de Montignac (quai Merilhou) autour du bestiaire préhistorique et des sculptures de Sandra Courlivant.